Natacha se tenait derrière le mur. Elle entendait le bruit des bottes au loin. Elle savait qu’il fallait qu’elle s’éloigne le plus rapidement possible. Ses maudits chiens, à coup sûr, allaient la flairer dans les 5 minutes.
Elle bénit ses talons d’avoir fait crisser la fonte de la plaque d’égout sous ses pieds. Sans faire aucun bruit elle déplaça la plaque. Se glissa par l’ouverture, puis remis la plaque en place.
Mon dieu, le général allait devoir se surpasser pour la rembourser de tout ceci. Les cosaques pouvaient bien attaquer, il devrait passer à la caisse, le général.
Au bout d’un quart d’heure, elle s’aperçut qu’elle devait avoir deux gardes à ses trousses. Quand elle s’arrêtait, elle pouvait entendre leurs pas lourds dans l’eau nauséabonde dans laquelle, ils et elle se déplaçaient. Il allait falloir s’en débarrasser. Elle se hissa dans un conduit de sortie de telle sorte que dans le couloir de l’égout en dessous, on ne puisse l’apercevoir. Le bruit des pas se rapprochait rapidement. Elle vérifia son arme, et le silencieux. Deux petits « pop » silencieux se firent entendre. Les deux corps s’écroulèrent 5 mètres plus loin.
Natacha se recoiffa, et reprit sa progression. D’après ses souvenirs des plans, elle en aurait pour deux heures de marche. Le camarade Nicoskov devait attendre à la sortie.
Le lendemain, le traître Miraleiv, reçut la visite d’une ravissante brune qui venait installer une nouvelle antenne de télévision. Il ne sut pas vraiment comment, et il ne le saurait jamais, mais il se retrouva avec ce fichu câble d’antenne autour du cou. Un voile rouge passa devant son regard, et la dernière chose que son âme pu voir, fut l’image de sa télévision. Elle était nette.
Natacha se détendit et se servit un verre dans le bar. Ce fourbe de Miraleiv s’y connaissait en alcool provenant de peuples décadents. Le général devait passer la chercher dans 5 minutes. Les cosaques avaient tenté d’attaquer, mais avaient été déjoués. Elle finit son verre et sortit. Le général lui ouvrit la porte, et Natacha s’engouffra dans la berline noire. La maison de Miraleiv s’embrasa soudainement alors que la voiture disparaissait au bout de l’avenue.
Elle bénit ses talons d’avoir fait crisser la fonte de la plaque d’égout sous ses pieds. Sans faire aucun bruit elle déplaça la plaque. Se glissa par l’ouverture, puis remis la plaque en place.
Mon dieu, le général allait devoir se surpasser pour la rembourser de tout ceci. Les cosaques pouvaient bien attaquer, il devrait passer à la caisse, le général.
Au bout d’un quart d’heure, elle s’aperçut qu’elle devait avoir deux gardes à ses trousses. Quand elle s’arrêtait, elle pouvait entendre leurs pas lourds dans l’eau nauséabonde dans laquelle, ils et elle se déplaçaient. Il allait falloir s’en débarrasser. Elle se hissa dans un conduit de sortie de telle sorte que dans le couloir de l’égout en dessous, on ne puisse l’apercevoir. Le bruit des pas se rapprochait rapidement. Elle vérifia son arme, et le silencieux. Deux petits « pop » silencieux se firent entendre. Les deux corps s’écroulèrent 5 mètres plus loin.
Natacha se recoiffa, et reprit sa progression. D’après ses souvenirs des plans, elle en aurait pour deux heures de marche. Le camarade Nicoskov devait attendre à la sortie.
Le lendemain, le traître Miraleiv, reçut la visite d’une ravissante brune qui venait installer une nouvelle antenne de télévision. Il ne sut pas vraiment comment, et il ne le saurait jamais, mais il se retrouva avec ce fichu câble d’antenne autour du cou. Un voile rouge passa devant son regard, et la dernière chose que son âme pu voir, fut l’image de sa télévision. Elle était nette.
Natacha se détendit et se servit un verre dans le bar. Ce fourbe de Miraleiv s’y connaissait en alcool provenant de peuples décadents. Le général devait passer la chercher dans 5 minutes. Les cosaques avaient tenté d’attaquer, mais avaient été déjoués. Elle finit son verre et sortit. Le général lui ouvrit la porte, et Natacha s’engouffra dans la berline noire. La maison de Miraleiv s’embrasa soudainement alors que la voiture disparaissait au bout de l’avenue.