Tranquille, perdu dans mon désert
Assoiffé, seules mes larmes me désaltèrent.
Le vent aride me repousse au loin
Mais croyez moi, il le fait en vain.
Si bien souvent je tombe à genoux
Pour demander quand cessera le courroux
La lumière étincelante apparaît et me redresse
Car mon ange gardien jamais ne me laisse.
Ô doux climat, envahit tout mon être
Au coeur de ce désert fait la vie renaître.
Du bleu de mes yeux puise l’eau
Afin d’irriguer avec le plus beau des flots.
Tranquille, perdu dans mon désert
J’attends que tu viennes et t’y désaltères.
Assoiffé, seules mes larmes me désaltèrent.
Le vent aride me repousse au loin
Mais croyez moi, il le fait en vain.
Si bien souvent je tombe à genoux
Pour demander quand cessera le courroux
La lumière étincelante apparaît et me redresse
Car mon ange gardien jamais ne me laisse.
Ô doux climat, envahit tout mon être
Au coeur de ce désert fait la vie renaître.
Du bleu de mes yeux puise l’eau
Afin d’irriguer avec le plus beau des flots.
Tranquille, perdu dans mon désert
J’attends que tu viennes et t’y désaltères.
© Août 1997 by Babou
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