Véro avait aussi repris le chemin du boulot. Elle était revenue toute bronzée de ces deux semaines de vacances. D’ailleurs elle n’en était pas peu fière de son teint halé.
Même Valérie qui prenait pourtant bien le soleil en éprouvait un sentiment de jalousie. Elle avait beau impugner le fait que Véro fusse plus bronzé qu’elle, Véro voyait bien dans cette jalousie latente que son bronzage était au top et lui allait à ravir.
Elle regarda son téléphone. Joao Pedro ne l’avait pas encore appelé. Ah les amours de vacances se dit-elle, dureront-ils plus qu’un automne ?
Pour l’instant c’était le cadet de ses soucis. Elle profitait. Elle ne voulait pas penser à sa récente séparation. Joao Pedro était son nouveau légionnaire fleurant le sable chaud.
Son téléphone sonna.
365 Obsolètes
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