Tant bien que mal je le confesse
je suis attiré par leur souplesse
par leur crue et douce délicatesse
oui, j’aime tes petites fesses.
De mes mains je les caresse
c’est là une de mes faiblesses
un pur moment d’allégresse
où je me noie avec ivresse.
Je suis un pervers
oui, mais de toi prisonnier
été comme hiver
je ne cesse de succomber.
Penses-tu qu’il soit malsain
d’adorer tes sublimes seins
d’aimer tous ces petits matins
où l’on se fait de tendres câlins.
Serais-je un moins que rien
à force d’admirer ta chute de rein
de voir en toi le plus bel écrin
qu’ai pu me donner le destin.
Je suis un pervers
oui, mais de toi prisonnier
été comme hiver
je ne cesse de succomber.
© 09/1999 by Babou
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