Les lumières scintillent
Des éclairs si futiles
Rouges, jaunes ou verts
Au son du trouvère
La vie se trémousse
On y va de sa secousse
Véritable danse du cygne
Parfois vils coqs misogynes
Mais tous viennent oublier
Les petits et grands malheurs
Si ce n’est les bonheurs
Le cœur vient exulter
Et qu’à l’aube mon amour
Au coin d’une arrière cour
Nos regards tout embués
Nous laisse nous aimer.
© Babou – 12/2006
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