Regabeler

Benoît XVI, Aka Ben "la Chapelle" Sixteen, a décidé de ne pas se regabeler la vie.
Vatileak, le pseudo ordre d’obédience Gay, tout ça n’était que des sornettes. Ben en a eu juste ras la calotte de toutes ces conneries. Point.

A lui les mers azures bordées de longues plages de sable blanc. Il en a assez curé comme ça. Avec Sœur Marie-Madeleine il va se la faire belle la vie.
Niveau com, pour la carte postale, on dira qu’il part se recueillir dans un couvent.

Mais pour tout vous dire, il a déjà reçu ces nouvelles Birkenstock !

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Conchier

Parfois, dans la vie, il y a des choix qu’on assume plus ou moins bien selon les moments, les situations.

Prenez Véro … enfin en exemple, hein, n’allez pas vous imaginer autre chose.
Bref l’autre jour, alors qu’elle se faisait un en cas, gentiment je lui fais remarquer :

- Véro merde … fais gaffe tu conchies tout là !!!
- Quoi … mais j’suis pas ta Conchita ducon !

Et la voila partie saloper le canapé …
Re-bref des fois finalement, tu te demandes pourquoi tu as fait certains choix. Oui … tu te demandes !

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Acédie

Quoique l’acadien n’ait rien à y voir, Jean-Michel non plus, …, il m’arrive parfois de me sentir au seuil de l’apathie.

Tout ça à cause d’un vil syndrome japonais … qui me taquine la glande et fait que je m’effondre jusqu’à ressentir l’acédie. En ces instants de dosage insuffisant, il ne me reste que 2 points de vitalité tout au plus. Bref, votre serviteur est HS. Rien à en attendre. Juste l’envoyer en révision chez un docte docteur pour redoser le bidule sodique afin que la machine reprenne le bon rythme.

Voilà, ce qui est dit est dit (et plus à dire).

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Gélasin

J’adore que le déroulement de la vie, et plus précisément de la mienne (excusez-moi de la jouer personnel sur le coup), tende à être gélasin.

Non je ne dis pas qu’il gèle à Sin (Aussi noble soit cette bourgade), par contre, j’exprime mon plaisir à chaque jour aspirer à rire. Même du malheur, j’essaye de tirer du rire. Certes c’est alors noir, acide, ironique, mais c’est ainsi que j’arrive à jouir de mes quelques minutes journalières de rire.

D’après des calculs scientifiques très poussés, le rire, le propre de l’homme, doit être au minimum de 5 minutes/jour. Sinon tu gèles dans ton corps et tu meures. Si !

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Bretauder

Véronique, ma douce, ma dulcinée (je dis ça au cas où elle viendrait à roder subrepticement dans le coin), il lui arrive parfois de me jeter à la face que je suis en train de bretauder.

J’aimerais bien lui répondre que le terrain est quand même assez inégal, qu’il y a du col, voire de la vallée (en plusieurs mots !), mais j’admets que je ne cherche pas en ces instants le conflit. J’évite. Véro elle part au quart de tour, il faut être vigilant.

Tu peux rapidement te retrouver « game over », à réellement tondre la pelouse avec Brutus à tes côtés. Même par temps de pluie.

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Se bronzer

La vie pousse à se bronzer.
Comme le soleil nous pousse à bronzer, afin de mieux lui résister, de l’amadouer (Mariam ?) afin que nous puissions supporter ses agressions, la vie opte pour le même chemin.

Peut-être même de façon plus sournoise, ayant à sa disposition une panoplie bien plus large que le soleil et son seul rayonnement.

D’ailleurs en ces temps obscurs de crise, je crains hélas qu’une cure de bronzage intensif nous soit imposée. Un peu trop « marche ou crève » à mon goût, mais la réalité libérale et économique s’accorde, hélas, en générale très mal aux aspirations de l’humaniste qui sommeille en nous.

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Maine

Avoir une bonne maine, c’est très utile.
Au poker ou autre jeu de cartes, ça fait toute la différence.

Dans la vie aussi ça compte d’avoir une bonne maine. N’avoir aucun atout, la complique énormément.

Quand tu rencontres une princesse, voire ta princesse, si tu n’as pas le statut de prince … tu peux te préparer à lutter. Surtout si tu es un gueux.
Comme le disait un certain Coluche : « il y en aura même qui seront noirs, petits et moches et pour eux, ce sera très dur ! ».

Bref, il n’y a pas de secret, une bonne maine c’est essentiel.

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Galimart

Y’avait pas à dire, il tortillait le petit.
Il discourait en utilisant un jargon argotique. Un véritable charabia aux frontières d’un patois inconnu. Et il continuait de baragouiner dans un imbroglio, un enchevêtrement frisant le désordre total. Un brouillamini (voire embrouillamini) sidérant. Un fatras babillard.

Il avait peut être son propre sabir donnant dans un phébus proche du patagon. Même du Javanais aurait été plus explicite. L’ithos et le pathos pompeux.

Il disait et en faisait des tartines sans que finalement personne ne saisisse la moindre idée cohérente, lui inclus.
Bref un déplorable galimart. (Aucune crainte d’être un jour publié chez Gallimard)

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Réfusion

Elle était là. Debout. Gesticulant avec véhémence. Criant son désespoir probablement. Je l’écoutais d’une oreille distraite.

Elle hurlait la réfusion de sa responsabilité sur moi. J’étais celui qui avait provoqué tout ça. J’étais la cause. Celui à l’origine de son malheur.

J’étais le lâche qui au milieu de la tempête n’était pas venu l’aider à surnager. Dire que je n’avais même pas vu venir la tempête n’aurait fait que de l’hystériser un peu plus. Quant à avoir vu la tempête …

Le pire : C’est que c’est moi qui aurait du hurler !

Bref elle me quittait pour un autre …

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Colloquer

Paris 18ième – 4 Avril 2017

Ce matin je me suis colloquer dans la file de droite. Celle qui desserre la boulangerie. Mon voisin de devant me dit qu’il y en a pour 3 heures d’attentes.

Je souffle. Je me dis que c’est mieux que les 6 heures hier à la mairie pour obtenir ces bons d’échanges. J’ai réussi à avoir 4 baguettes, 2 paquets de 4 tranches de jambon, 200 grammes de saindoux (il n’y en avait plus pour du beurre), et deux litres de lait.

Mon amie est partie avec notre fille à l’épicerie pour le jambon. J’espère qu’elle pourra être de retour à la maison pour midi. Heureusement nous sommes au chômage tous les deux (comme 42 % de la population), nous avons plus de temps pour faire les queues !

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Zoïle

J’ai du mal avec la critique. Pas celle qu’on peut avoir sur moi (là … j’occis carrément !).
Non … avec les critiques ciné, littéraires. Ces critiques condescendantes, professorales, souvent empreinte de jalousie.

Bref je n’aime pas les zoïles comme on aurait dis jadis. Ou du moins j’ai du mal. Je ne comprends pas comment on peut être si affirmatif du genre « ce que vous écrivez c’est juste nul, archi nul ».

A ce sujet j’ai bien aimé Michel Onfray renvoyant à leurs études le duo Polony (en résumé « Ne reprochez pas aux auteurs de ne pas écrire le livre que vous n’arrivez pas à écrire ») / Caron (Qui a un pseudo ami intellectuel). Et c’est dit de façon assez calme en plus.

Bref, Intelligence 1 – Critique 0.

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Frisque

Dimanche.

Le ciel est enfin bleu. Même si l’air y est très frais et frisque.
L’intérieur y est par opposition plus chaleureux. Cependant, j’envisage de prendre le risque de tenter une expédition extérieure.

Besoin de voir le soleil. De ressentir qu’il existe encore après tous ces jours passés sous le gris et la pluie. Reste à mettre la polaire, les gants, l’écharpe, le manteau et de se lancer dans l’aventure.

Je prends mes clés (très important pour ne pas mourir congelé au retour), ouvre la porte et me lance dans l’air frisquet. Bon W-E.

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Syrtes

J’évolue sur un sol meuble. Je bouge, je vis.
J’évolue sur la terre. Elle bouge, elle vit.

Pourtant, mes semblables ignorent trop souvent qu’elle vit notre planète. Elle ferait bien de faire apparaître moult syrtes aux pieds de certains irrespectueux. Les fracturateurs, les supertankers, les vils  exploiteurs de tous bords … Feraient moins les malins.

Mais bon, elle prend son temps. Elle sait qu’ils ne sont pas éternels.
Par contre nous autres, nous devrions essayer de leur faire comprendre un peu plus rapidement. Ne serait-ce que pour les générations futures.

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Quinte

La guigne. Voilà qu’une vilaine quinte de toux m’étouffe.
Juste au moment où je touche le graal de tout joueur de Poker. La quinte.
Pas la quinte flush hein ! (Royale ou pas d’ailleurs).

Non, non, …, la vraie quinte, les 5 as. Celle que t’as avec l’as planqué dans la manche (Pas la mer hein … non le morceau de vêtement !).
Bref cette vilaine toux allait-elle faire deviner à mes adversaires mon jeu. Vite ma « Poker face ».

Enfin viens l’heure de gloire, j’abats mon jeu. Ils le refusent. « Tricheur » me lancent t-ils.
De colère, je t’ai piqué une de ces quintes !!!

Bref 4 cadavres. Faut que je me dire de là dare-dare.

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Immarcescible

Ça y est. La revoilà, …, la saint Valentin !
Mais qu’est-ce que c’est que ce culte à la noix, poussant les tourtereaux à marquer ce jour à l’aide de présents variés comme le pinacle de leur amour immarcescible.

Tu parles, …, devrais-je leur rappeler qu’ils se les jetteront à la gueule lors de leur séparation, accompagnés de multiples noms d’oiseaux.

Moi j’m’en fous j’offre rien. Faut pas déconner. Me femme c’n’est pas une pute. Elle ne m’aime pas vénalement.

Si je suis célibataire … Oui, …, et alors ???

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Fin alternative : (Pas de célibat ...;-))

Euh désolé je reviens …

Oui mon Minou Minou, …, ton cadeau est sur la table de nuit … oui je sais il ne fallait pas …

Folliculaire

Aujourd’hui j’ai pris le folliculaire de Montmartre pour me rendre à l’école.
Je fais des études de journalisme.
Papa, magma de la presse, pense que c’est dans mes cordes. C’est pourquoi pour mes 42 ans il m’a inscrit dans cette école. Je rêve de devenir envoyé spécial.

Vous voyez, le type avec un micro, avec des passants plus ou moins cons qui passent derrière (en même temps un passant qui passe, hein !), qu’on envoie pour dire qu’il ne se passe rien. Bref, un vrai funiculaire. [Mon père me dit que j’aurais commis des coquilles. Pourtant j’vois pas d’œufs moi !].

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Ravaudage

Le temps. Voilà ce qu’il manquait à la bête du Gevaudan.
Déjà qu’il fallait se dépêcher de zigouiller de la biquette dans les Alpes afin que les éleveurs puissent accuser ce con de loup, puis du coup organiser sous l’aval des autorités une petite partie de chasse (Il faut bien s’amuser l’hiver).

Voilà qu’elle avait reçu un télégramme (si … ça existe encore dans le monde des officines secrètes !) afin de relancer  la haine de l’Ours dans les Pyrénées. Elle n’avait pas le temps. Encore un ravaudage en perspective. Un jour, sûr, elle allait se faire choper. On découvrirait toutes ces barbouzeries métazoaires !

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Chamboler

Aujourd’hui, c’est dit, je vais me laisser à chamboler.
J’ai pris mon après midi. Ce soir c’est concert, mais j’ai décidé de prendre mon temps avant d’atteindre le but. Enfin la salle de concert.

Étape numéro 1 : Poser le véhicule motorisé.
Étape numéro 2 : Me changer en tenue de « chamboleur ».
Étape numéro 3 : Déambuler, pour aller au RDV et prendre un café qui sera accompagné de blabla avec une chère amie.
Étape numéro 4 : Chamboler encore et encore.
Étape numéro 5 : Arrêt bar. Ravitaillement + petite dose antigel (il fait froid … dites !!!)

Ah c’est l’heure du concert …

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Virago

Temps de merde.
Voilà qu’il neige … Heureusement ça ne tient guère sur la chaussée.

Cependant, grâce à l’excellent travail de la DDE, l’eau elle, …, elle reste.
Bref … alors que je rentrais de la gare de Lyon, v’la t’y pas que peu avant Rungis … paf 20 à 30 cm d’eau sur 20 mètres, pile poil sur ma voie d’A6. Impression de te prendre un mur et baroufle « aquaplanant ».
Évidemment, Véro, ma Virago, de s’écrier « Mais vire à gauche blaireau ».

Du coup elle rentre à pied (je l’attends avec un bon grog).

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Forfante

Que le premier qui n’a pas été forfante un jour me jette la première pierre [Euh … Marcus repose ce pauvre Pierre. T’es vraiment trop premier degré !].
Qui n’a pas essayé de fanfaronner, de se faire plus beau qu’il ne l’est. Qui ne s’est jamais senti investi de vantardise, hein, qui ?

Ben moi …
Oui j’ose le dire, jamais je ne me vante. Jamais je n’enjolive mes qualités, mes exploits, mes faits d’armes.

Ah … finalement on me dit que si. Le long cortège de mes ex …
Pas glop !

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Bégaud

Gilbert Bécaud … l’a échappé belle.

A une lettre près, il se fusillait sa carrière.
Fini Monsieur 100 000 volts (soit dit en passant … 100 000 volts c’était p’t’être abusé, sinon le premier qui lui aurait serré la main serait passé direct ad patres) et bonjour Gilbert Bégaud, l’idiot du village.

Heureusement, l’ultime boulette n’a pas été commise, et Monsieur 100 000 volts a eu une belle carrière. On a même laissé entendre qu’il aurait rencontré une certaine Nathalie, guide de profession. Cependant il semblerait que ce n’était qu’une légende.
Pour les nigauds que nous sommes.

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Icastique

Tiens voilà un mot que Steve jobs n’aura pas breveté et déposé :

« icastique » …

Oui c’est ironique véronique …
De toutes façons, toi dès qu’on touche à ton Dieu à la pomme (rappelons à toute fin utile, que bibliquement parlant, la pomme, c’est le mal !!!) et ses créations … tu tiques !

Ta réaction icastique, ma chère, sur le sujet, est épidermique. Bref tu piques Véro.

[…]

Résultat : Croyez-moi ou non, mais elle l’a mal pris !!!

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Faconde

Il y a une pléthore de façons de s’exprimer. Même le silence peut servir à exprimer beaucoup.

Il serait trompeur de croire qu'avoir une faconde puisse toujours procurer un avantage certain.
Prenez les hommes politiques, les surentraînés de la parole facile. Est-ce aujourd’hui réellement un avantage, alors que quasiment tout peut être vérifié, analysé.  Je ne pense pas.

Bien des dictons populaires le confirment. Il est nul venin pire que celui de la langue. Sachons d’abord écouter, puis juger aux actes.
Bref ayons plutôt une sagesse féconde, qu’une faconde étourdissante.

Ainsi peut être Zarathoustra parlera. (ou pas !)

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Rapetassage

Les rapetou volent. Enfin essaient la plupart du temps.

Les rapaces aussi ... volent. Cependant, ils y réussissent mieux que les précédents.

Les « râpe moi donc 1 kilo d’emmental » sont quant à eux peu appréciés par les rappeurs de la planète Mars.

Les « rapporte-moi la baballe », sont eux bien souvent seul au milieu de nul part, avec pour unique outil une vieille balle de tennis.

Enfin pour conclure, l’auteur bougrement anonyme empreint d’une sagesse pour une fois clairvoyante, voit bien qu’aucun rapetassage ne saurait sauver ce galimatias qui lui sert d’alibi participatif.
Il préfère aller se coucher.

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Castelliser

Je suis un seigneur. Un vrai.
Pas de ceux qui s’affichent par l’intermède d’un film sur vos écrans. Je ne suis pas un illusionniste de la toile, un faiseur de rêves artificiels faisant mine d’être un footballeur de génie.

Je suis juste un seigneur de par la noblesse de ce que je suis. Je ne suis que moi, tout simplement. Nul euro pour cela. Par conséquent, ce n’est pas avec ça que je vais pouvoir castelliser.

Qui plus est qu’à titre tout à fait personnel, je n’en ai pas … de château.

Ceci était un message du comité Coué.

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Vénusté

Le gâchis …

M6 découvre en 2013 le gaspillage alimentaire … Diantre quelle clairvoyance, quelle prompte réaction !

Et en bonus, en guise de cerise, la petite histoire de la Pink Lady. La perfection faîte pomme.

A tout bien réfléchir, à cette grâce artificielle, à cette beauté dopée aux phytosanitaires, je préfère la vénusté de ma princesse.

Cette belle qui hante mes rêves a la vénusté du naturel. Ses imperfections deviennent autant de particularités, de grâces qui me la rende unique.

Bref, pas besoin de science obscure, ma belle ne l’est qu’au naturelle, et c’est ainsi que je l’aime.

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