24 février 2013

Bretauder


Véronique, ma douce, ma dulcinée (je dis ça au cas où elle viendrait à roder subrepticement dans le coin), il lui arrive parfois de me jeter à la face que je suis en train de bretauder.

J’aimerais bien lui répondre que le terrain est quand même assez inégal, qu’il y a du col, voire de la vallée (en plusieurs mots !), mais j’admets que je ne cherche pas en ces instants le conflit. J’évite. Véro elle part au quart de tour, il faut être vigilant.

Tu peux rapidement te retrouver « game over », à réellement tondre la pelouse avec Brutus à tes côtés. Même par temps de pluie.

365 Obsolètes


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