Je me suis perdu dans ce paysage
Qui dessine de ses contours un visage
Qui de ses couleurs chatoyantes l'anime
A la vie, à la mort, voilà le bel hymne.
Au milieu de nul part, perdu
Je déambule le long de ses vallées,
de ses courbes gracieuses et imprévues,
Où mon âme se sent si apaisée.
Et si le soir, à la nuit venue
Je ressemble à un ange déchu
Sur lequel rien ne semble avoir prise
Au matin, dés que pointe l'aurore
Et qu'apparaît le paysage, ce doux trésor
L'espoir déploie une nouvelle fois son emprise.
Qui dessine de ses contours un visage
Qui de ses couleurs chatoyantes l'anime
A la vie, à la mort, voilà le bel hymne.
Au milieu de nul part, perdu
Je déambule le long de ses vallées,
de ses courbes gracieuses et imprévues,
Où mon âme se sent si apaisée.
Et si le soir, à la nuit venue
Je ressemble à un ange déchu
Sur lequel rien ne semble avoir prise
Au matin, dés que pointe l'aurore
Et qu'apparaît le paysage, ce doux trésor
L'espoir déploie une nouvelle fois son emprise.
© Août 1997 - Babou
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