03 mars 2013

Affolir


Où que porte mon regard
Dans chaque chose que je croise
Au fin fond du val d’Oise
Ou sur la plage de Bidart

Dans une pauvre affiche de pub
Vantant les vertus d’un cube,
Dans un alambiqué nuage
Passant par un soir d’orage

Bref où que mon regard porte
Le destin semble faire en sorte
Qu’il n’y ait que toi Princesse
Ma douce et belle enchanteresse

Jour après jour, au fond de moi
De toi ma raison semble s’affolir
Jour après jour, tu deviens la foi
 Qui me consume jusqu’à en pâlir

Où que porte mon regard
Il n’y a que toi, mon bel étendard.

365 Obsolètes


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