04 mars 2013

Condouloir


Parfois, en regardant par la petit lucarne (malgré le fait qu’elle puisse puissamment me manipuler et jouer avec mon ressenti, mes émotions), mes tripes  me poussent à me condouloir avec les horreurs, les maux, qu’elle daigne porter à ma connaissance.

La misère, la mort, les inégalités, les ignominies qu’elle livre en pâture à mon regard me retournent l’âme et me font douter de notre humanité.
Bien que je garde en tête les possibles manipulations et autres orientations rédactionnelles, j’avoue qu’une ire me prend contre ce monde décadent, qui me semble peu à peu imploser.

Bref, je ne suis qu’un faible dans un monde glorifiant les forts.

365 Obsolètes


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