16 mars 2013

Vairon


Quand tu choppes certaines maladies, ton teint prend parfois des tournures de vairon.
L’hiver … cette saison si peu chaleureuse, incline hélas à s’y adonner.

A nos corps défendant, évidemment. Je sors justement d’une de ces périodes troubles, où le flou n’a rien d’artistique. Où les vertiges ne sont pas de l’amour, mais bel et bien l’expression que quelque chose ne tourne pas rond dans nos fors intérieurs.

Et ne comptez pas sûr Véro pour jouer les mères poules. Bizarrement, en ces instants … vous n’existez plus et elle s’évanouie dans la nature. Sûrement la peur de la contagion ;-)

365 Obsolètes


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