MI CALOR
Ô cruelle et vile chaleur
de mon corps tu t’empares encore,
de ton soleil brillant tel l’or
tu mets la fièvre à mon coeur.
Sous ces cieux où tu vis le jour
ton image encore une fois me terrasse,
cette image qui jamais ne s’efface
à mon esprit fait sans cesse la cour
Et quand surgit le crépuscule
de ta chaleur qui jamais ne recule,
tu échauffes mon esprit et le fait se tordre
y insinuant un joyeux désordre.
Même au creux de mon sommeil
je sent ta présence, cruel soleil,
tu brûles et attises mes sens
avilissant toutes mes résistances.
Ô cruelle et vile chaleur
de mon corps tu t’empares encore,
et de ton soleil brillant tel l’or
tu mets la fièvre à mon coeur.
Ô cruelle et vile chaleur
de mon corps tu t’empares encore,
de ton soleil brillant tel l’or
tu mets la fièvre à mon coeur.
Sous ces cieux où tu vis le jour
ton image encore une fois me terrasse,
cette image qui jamais ne s’efface
à mon esprit fait sans cesse la cour
Et quand surgit le crépuscule
de ta chaleur qui jamais ne recule,
tu échauffes mon esprit et le fait se tordre
y insinuant un joyeux désordre.
Même au creux de mon sommeil
je sent ta présence, cruel soleil,
tu brûles et attises mes sens
avilissant toutes mes résistances.
Ô cruelle et vile chaleur
de mon corps tu t’empares encore,
et de ton soleil brillant tel l’or
tu mets la fièvre à mon coeur.
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