27 juin 2013

Gaber


Je gabe beaucoup … Essentiellement avec l’inconnue qui est tombée du ciel un beau jour, une sorte d’ange déchu, aux ailes abîmées. Du matin (enfin si un minimum réveillé, je suis !) jusqu’au soir, si l’environnement nous y est propice, nous gabons. Oui … je crois que l’on peut dire que nous sommes des gabonais par essence (bien que des vils rabat-joie indiquent plus le terme de gabeur !).
Peu importe la matière, il n’est nécessaire que d’avoir une entente commune. Entente qui dépasse l’analyse et la compréhension pour autrui. Là est sa toute puissance.

Bref … nous nous gabelons, des autres, de nous-mêmes, de tout, de rien … du matin au soir. Et dans tout ça Mytilda qui veut m’occire, Véro et ses traquenards, Valérie et ses séparations (et liaisons) tumultueuses, la crise, la météo … croyez-moi, mais ça occupe un peu son homme.

Allez j’y retourne …

365 Obsolètes


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