Enfin. Mes vacances arrivaient.
J’allais enfin pouvoir souffler. Les dernières semaines avaient été assez stressantes. La crise et son cortège de mauvaises nouvelles, je voulais les mettre loin de moi.
Et puis y’avait Mytilda qui sournoisement s’était calmée. Ça faisait bien 15 jours qu’elle ne parlait plus de m’occire en me faisant subir mille et une souffrances. Mais tarare, cela ne prenait pas avec moi. Je savais bien qu’elle ourdissait avec sa clique leur sombre complot. Elle avait beau rien dire, la fourbasse, j’étais vigilant, mon 6ième sens en alerte.
D’ailleurs ce qui m’inquiétait, c’était qu’elle avait les mêmes dates de congés que moi … Ça, c’était louche comme aurait dit Afflelou. Bref … les vacances arrivaient. Faudra juste être sur mes gardes. Et puis y’aura Véro … Si Mytilda venait à pointer son museau, je lui souhaitais bien du courage.
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