J’en ai une infinité au plus profond de moi. J’en ai tellement que les océans ne suffiraient pas à l’accueillir.
J’en ai tellement, pour vous dire, que ça fait mal. Ça brûle comme si à l’enfer perpétuel j’étais voué. Personne ne daigne vouloir partager cela.
Parfois, par mince filet, j’en laisse écouler un tantinet pour quelques bonnes âmes, laissant ce ru minuscule apporter ce pourquoi il est fait.
Mais je contrôle strictement les vannes. L’infini n’est dû qu’à la bonté, à la jumelle éternelle, celle qui saura animer un flux de va et vient, un doux mouvement perpétuel. Douce danse universelle.
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