Les colères de Véro, je ne les prends jamais à la venvole. Jamais !
Cette facilité pourrait s’avérer être une faiblesse des plus coûtantes à la longue. Bref depuis le coup de « Aïda », je dors sur le canapé. Une semaine déjà que dure la plaisanterie.
J’ai pourtant tout fait pour que cesse ce courroux immérité. Petits plats tous les soirs, petits mots doux susurrés amoureusement, bouquets fleuris, etc. Mais rien n’y fait.
Alors ce soir, après le dîner, je me suis couché dans le lit sans aucune permission.
- Qu’est-ce que tu fais là.
- Ben je suis couché !
- Ah … et tu crois que je suis d’accord ?
- D’accord ou pas ma chérie, si tu veux tu as le canapé !
Elle m’a regardé, légèrement interloqué par ma réponse
- Bon … je t’autorise à rester.
J’ai laissé glisser un léger merci, pour qu’elle puisse penser qu’elle avait dominé la situation.
Je ne fais jamais les choses à la venvole !
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