A défaut d’être heureux, et ne me prénommant pas Hubert, il m’arrive tout de même par certains côtés de pouvoir me qualifier d’ubéreux.
En effet, afin d’abreuver ce petit espace de toile, il me faut chaque jour produire un petit texte sur l’obsolescence non programmée de certains mots.
Et ce n’est peut être pas vain lorsqu’on constate, hélas, l’appauvrissement du vocabulaire de nos jours. Entre langage texto, baisse du niveau des élèves, etc., on en vient à retraduire des œuvres jeunesse en appauvrissant le niveau, espérant en vendre encore quelques uns à d’éventuels pré-ados ou ados encore capable de lire une œuvre plus longue qu’un SMS.
Allez ubéreux qui comme Ulysse …
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