05 septembre 2013

Berquinade


Mes rêves actuels n’étaient rien d’autres que des berquinades dignes des plus belles pages de Barbara Cartland (Ah ouais … des références tout de même le petit).

Ma réalité s’y retrouvait projetée dans un monde féerique. Mes déboires devenaient de véritables victoires. J’étais le vilain Ross, le type horrible que l’héroïne détestait dès le premier regard échangé. Cette même héroïne qui ne jurait que par le beau et charmant Steven (Ou Ken … ou Kevin, bref un mec qui se lève tout ce qui bouge !), qui fleurait bon le sable chaud des plages polynésiennes. Évidemment je venais des bas quartiers tandis que le Steven était issu (Ah … vendeur dans le sentier ?) d’une famille des plus nobles.

Et puis là, patatras, Steven se révélait être un cocaïnomane, adepte du sadomasochisme avec Maîtresse venin (et bien d’autres) et n’avait pas vendu une seule chemise depuis deux ans.

Bref … mes rêves étaient peuplés de belles et magnifiques (Jane ???) berquinades.


365 Obsolètes


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire