Argh … saleté d’évier. Complétement bouché. Tu parles d’une mission galère. Ce n’était pas chez moi, ce n’était pas mon évier, et si cela n’avait tenu qu’à moi il le serait resté encore longtemps.
- Chou … On descend chez le boucher. Tu veux quelque chose de particulier ?
- Grrrrrrr … non … faites comme vous voulez …
- Ok … Allez Val, en route …
Oui … j’étais en train de déboucher l’évier de Val.
Soudain, le siphon céda sous mes efforts pour le dévisser. Une eau à l’odeur acide et citronnée se déversa dans le seau. Tu parles qu’il était bouché. Il y avait trois tonnes de morceau de citron. Elles avaient dû en descendre du ti’punch et autres Mojitos les deux mémères.
J’ai nettoyé le siphon, puis ai tout remonté. Pas de fuite. Nickel.
Le soir je décidais de prendre Véro entre 4 yeux. De nous aboucher. Je n’eus pas grand-chose à dire. Elle savait ce qui me pesait. Nos bouches à quelques centimètres l’une de l’autre. Inexorablement la distance se raccourcissait. 4, 3, 2, 1 … contact !
365 Obsolètes
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