Charles relut le message.
Ils le défiaient ces maudits envahisseurs. Voilà qu’ils lui envoyaient des rapports sur leur avancée. Apparemment ils indiquaient être à mi-parcours.
Charles s’ébouriffa les cheveux. Il se mettait martel en tête. Il fallait impérativement qu’il les arrête. Qu’ils ne puissent plus faire un pas de plus que cette moitié.
Il cliqua sur sa souris, et fit apparaître la carte. Il plaça deux légions sur la route des envahisseurs. Ils ne s’attendraient pas à les trouver là. Il avait bien fait de les planquer depuis le début du conflit.
Il entendit les cris de désespoirs venant de la chambre. Les envahisseurs venaient probablement de rendre les armes.
- « Tonton … t’es qu’un tricheur. Tu n’avais pas le droit de mettre des légions de côté … »
Ah la jeunesse ! Fougueuse, téméraire, fonceuse, …, mais parfois si irréfléchie. Charles éteignit son portable puis revint sur le canapé pour reprendre la lecture du premier roman de deux écrivains qui lui titillait les méninges.
365 Obsolètes
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire