Mytilda était devenue bizarre.
C’était venu peu après la mort de son Sifu 25. Elle qui était plutôt d’un optimisme désarmant (Elle avait tout de même espoir, elle et sa clique, de pouvoir m’occire un jour !!!) se laissait aller depuis quelques temps à laisser quelques éclairs sombres briller au fond de ses pupilles.
C’était fugace mais le côté obscur était bel et bien là.
Aujourd’hui était une de ces journées. La lumière était absente de son regard. Ça me touchait et je faillis me laisser aller à lui proposer de prendre un café ou un thé à la fin de la journée. Mais je n’avais pas le temps. J’en étais déjà à devoir passer en cette fin d’année sur les dossiers que je gérais en mode perlustration. J’avais de plus rendez-vous à dîner avec Véro. Une occasion de peut-être recoller les morceaux entre elle et moi.
D’ailleurs, je rangeais mes affaires dès 16 H 30 afin de ne pas être en retard.
- Ah … ben toi aussi tu m’abandonnes !
- Pardon …
- Non rien … tu m’abandonnes, alors que c’est moi qui d’habitude me sauve de bonne heure !
- Ah … si tu le dis … On en reparle demain ?
- Ouais … c’est ça … demain …
Je pris ma veste et filai vers mon rendez-vous du soir …
365 Obsolètes
C’était venu peu après la mort de son Sifu 25. Elle qui était plutôt d’un optimisme désarmant (Elle avait tout de même espoir, elle et sa clique, de pouvoir m’occire un jour !!!) se laissait aller depuis quelques temps à laisser quelques éclairs sombres briller au fond de ses pupilles.
C’était fugace mais le côté obscur était bel et bien là.
Aujourd’hui était une de ces journées. La lumière était absente de son regard. Ça me touchait et je faillis me laisser aller à lui proposer de prendre un café ou un thé à la fin de la journée. Mais je n’avais pas le temps. J’en étais déjà à devoir passer en cette fin d’année sur les dossiers que je gérais en mode perlustration. J’avais de plus rendez-vous à dîner avec Véro. Une occasion de peut-être recoller les morceaux entre elle et moi.
D’ailleurs, je rangeais mes affaires dès 16 H 30 afin de ne pas être en retard.
- Ah … ben toi aussi tu m’abandonnes !
- Pardon …
- Non rien … tu m’abandonnes, alors que c’est moi qui d’habitude me sauve de bonne heure !
- Ah … si tu le dis … On en reparle demain ?
- Ouais … c’est ça … demain …
Je pris ma veste et filai vers mon rendez-vous du soir …
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