Au boulot, l’humeur de Mytilda restait constante. Dans le maussade. J’avais beau essayer de plaisanter, de me montrer plus agréable qu’à l’accoutumé, rien ne semblait la dérider ces derniers temps.
De mon côté, Véro m’avait remis sur les rails de la séparation. Il n’était plus question que je puisse rejouer dans les parages de son entrefesson. Cependant, la déception fût moindre que l’été dernier. Certes je reçu une claque, mais elle ne me laissa pas à terre. Juste assis sur le canapé.
Et puis Véro y avait mis les formes. Elle voulait vraiment que nous restions proches. Elle n’avait rien à me reprocher. Elle avait déconné cet été et regrettait que je fusse celui qui payait les pots cassés. Elle pleura beaucoup. Moi aussi. Nous finîmes dans les bras l’un de l’autre, les yeux rougis.
Mytilda de son côté trouvait que la plaisanterie « Mytilène et Valérie » avait assez durée sans qu’elle n’intervienne. Elle trouvait que la situation faisait un peu rocambole. Alors quand Mytilène daigna rentrer dont on sait où, elle lui fit une scène. Mytilène lui expliqua qu’elle faisait ce qu’elle voulait. Qu’elle ne lui avait surtout pas juré l’exclusivité. Mytilda s’emporta encore plus.
Chacune campant sur ses positions, la diatribe finit aux aurores et Mytilda se retrouva à pieuter sur le canapé.
Bref, le lendemain au boulot, je ne pus faire que le constat d'une situation qui ne s’était pas améliorée. Elle ne voulait toujours pas en parler, même si elle venait de moins en moins réticente aux pauses café/Thé que je lui proposais. Nous y discutions de la vie en générale, et j’inventais des histoires absolument absurdes dans lesquelles elle se laissait aller. Je me disais que si elle pouvait oublier ses malheurs 5 minutes, c’était déjà ça de gagner. En plus j’oubliais par la même les miens.
De mon côté, Véro m’avait remis sur les rails de la séparation. Il n’était plus question que je puisse rejouer dans les parages de son entrefesson. Cependant, la déception fût moindre que l’été dernier. Certes je reçu une claque, mais elle ne me laissa pas à terre. Juste assis sur le canapé.
Et puis Véro y avait mis les formes. Elle voulait vraiment que nous restions proches. Elle n’avait rien à me reprocher. Elle avait déconné cet été et regrettait que je fusse celui qui payait les pots cassés. Elle pleura beaucoup. Moi aussi. Nous finîmes dans les bras l’un de l’autre, les yeux rougis.
Mytilda de son côté trouvait que la plaisanterie « Mytilène et Valérie » avait assez durée sans qu’elle n’intervienne. Elle trouvait que la situation faisait un peu rocambole. Alors quand Mytilène daigna rentrer dont on sait où, elle lui fit une scène. Mytilène lui expliqua qu’elle faisait ce qu’elle voulait. Qu’elle ne lui avait surtout pas juré l’exclusivité. Mytilda s’emporta encore plus.
Chacune campant sur ses positions, la diatribe finit aux aurores et Mytilda se retrouva à pieuter sur le canapé.
Bref, le lendemain au boulot, je ne pus faire que le constat d'une situation qui ne s’était pas améliorée. Elle ne voulait toujours pas en parler, même si elle venait de moins en moins réticente aux pauses café/Thé que je lui proposais. Nous y discutions de la vie en générale, et j’inventais des histoires absolument absurdes dans lesquelles elle se laissait aller. Je me disais que si elle pouvait oublier ses malheurs 5 minutes, c’était déjà ça de gagner. En plus j’oubliais par la même les miens.
365 Obsolètes
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire