Dring … Dring … Je lâchais ma guitare pour voir qui dans la maigre assistance pouvait jouer les saligauds.
Dring … Dring … j’ouvris les yeux et quittai mon rêve de Croque-note du métropolitain pour revenir à la réalité du canapé. Quelle heure pouvait-il être. Je me frottais les yeux, essayant de visualiser la place des aiguilles luminescentes de ma montre. Diantre il était quasiment 4 heures du mat’
Dring … Dring … Mais qui pouvait bien sonner avec cet acharnement à pareille heure. Je finis par me lever et me dirigeai vers la porte d’entrée. Je tentai un œil dans le judas, mais je n’y vis que l’obscurité. Dring … Dring … J’ouvris finalement la porte et tombai nez à nez avec une revenante.
- Hein … qu’est-ce que tu fous là ?
- Je peux entrer ?
- Euh … j’sais pas … oui … Entre !
Elle pénétra dans l’appartement, déposa sa valise dans le coin cuisine, et revînt au salon.
- Beau caleçon, me fit-elle.
Ma tête regarda vers le bas et constata toute l’élégance de ma quasi nudité.
- Qu’est-ce que tu viens faire ici ?
- Je viens te demander de m’héberger … j’ai besoin de ton aide !
- Ah … Tu n’manques pas d’air !
- Tu veux pas qu’on en reparle demain, j’suis crevé là …
- Je t’accorde ce sursis … j’suis vanné …
Prends la chambre … moi je vais finir sur le canapé.
- T’es sûr …
- Oui … j’ai jamais réussi à bien dormir dans ce con de lit depuis ton départ …
Sur ce … elle récupéra sa valise, et referma la porte de la chambre. Je m’étais déjà recouché, mais je dus me lever afin d’éteindre la lumière. Qu’est-ce qu’elle foutait là … Pffufff, sûr que je n’allais pas arriver à me rendormir moi !
365 Obsolètes
Dring … Dring … j’ouvris les yeux et quittai mon rêve de Croque-note du métropolitain pour revenir à la réalité du canapé. Quelle heure pouvait-il être. Je me frottais les yeux, essayant de visualiser la place des aiguilles luminescentes de ma montre. Diantre il était quasiment 4 heures du mat’
Dring … Dring … Mais qui pouvait bien sonner avec cet acharnement à pareille heure. Je finis par me lever et me dirigeai vers la porte d’entrée. Je tentai un œil dans le judas, mais je n’y vis que l’obscurité. Dring … Dring … J’ouvris finalement la porte et tombai nez à nez avec une revenante.
- Hein … qu’est-ce que tu fous là ?
- Je peux entrer ?
- Euh … j’sais pas … oui … Entre !
Elle pénétra dans l’appartement, déposa sa valise dans le coin cuisine, et revînt au salon.
- Beau caleçon, me fit-elle.
Ma tête regarda vers le bas et constata toute l’élégance de ma quasi nudité.
- Qu’est-ce que tu viens faire ici ?
- Je viens te demander de m’héberger … j’ai besoin de ton aide !
- Ah … Tu n’manques pas d’air !
- Tu veux pas qu’on en reparle demain, j’suis crevé là …
- Je t’accorde ce sursis … j’suis vanné …
Prends la chambre … moi je vais finir sur le canapé.
- T’es sûr …
- Oui … j’ai jamais réussi à bien dormir dans ce con de lit depuis ton départ …
Sur ce … elle récupéra sa valise, et referma la porte de la chambre. Je m’étais déjà recouché, mais je dus me lever afin d’éteindre la lumière. Qu’est-ce qu’elle foutait là … Pffufff, sûr que je n’allais pas arriver à me rendormir moi !
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