Les jeunes à têtes d’Ados finirent leurs anisettes. Comme il était dorénavant coutume, je faisais tourner mon vieux rhum dans son verre. Comme si j’allais trouver une solution, voire les réponses à mes interrogations.
Finalement, je bus ce dernier d’une descente sèche, brève et précise. Le feu du liquide glissa le long de mon œsophage, finit par réchauffer mon intestin pour finalement remonter alimenter une petite flamme au fond de mes pupilles. Flamme qui certes n’avait pas le pouvoir d’adoniser d’un coup de baguette magique ma vie, mais qui illusoirement me permettait de regagner mon canapé pour y faire la moule, les angoisses légèrement atténuées.
Bref … un mélange d’ado niais, de mollusque et d’aï, incapable de reprendre sa vie en main !
365 Obsolètes
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