06 octobre 2013

Bastante

- Basta, s’écria Véro
Tu arrêtes de me prendre pour une truffe et tu me dis quand on va enfin pouvoir y aller …
- Mais bibiche je te l’ai déjà expliqué, on ne peut pas encore y aller …
- Suffit Joao … je ne suis pas une poule à trois pattes encore moins une perdrix de l’année. Tes explications ne sont pas bastantes …
- Mais ma puce …
- Y’à pas de puce qui tienne !
Déjà le coup du boulot du dimanche qui finalement était le soit-disant déménagement d’un ami …
- Mais c’était la vérité. On a déménagé mon pote Alfredo …
- Peut-être, mais là n’est pas la question … Quand est-ce que je vais pouvoir voir ce fameux loft, qui est plutôt fumeux pour le coup, hein …
- Mais … je ne saurais te dire …
- Oh cesse de te foutre de moi Joao …  j’en ai soupé de cet hôtel. Si à la fin de la semaine je ne crèche pas ailleurs, c’est sûr que tu n’auras plus que de ton loft à te soucier !
- Véro ne le prends pas comme ça …
- Ferme la Joao … je vais me coucher et ne viens pas m’ennuyer.

Sur ce Véro se déshabilla, se mit au lit et éteignit sa lampe de chevet pour finir.


365 Obsolètes


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